La loi sur l’usurpation d’identité numérique

L’évolution des réseaux sociaux a surgi au même rythme que celui de l’usurpation d’identité numérique. Il connaît actuellement une véritable dégradation. Malgré les diverses protections des données personnelles qui induisent la sécurité, les risques d’atteinte à la vie privée refont toujours surface. Personne n’est jamais à l’abri face à cette situation d’usurpation numérique, d’où l’implication des juristes dans le rang.

Une infraction pénale aggravante au niveau du numérique

À l’époque actuelle, il est encore plus complexe de gérer ce phénomène d’usurpation numérique. Il envahit notamment le domaine de l’informatique. La sécurisation des données personnelles devient de plus en plus difficile. Proprement dite, l’usurpation numérique a pour objectif crucial d’utiliser l’identité d’une personne à son insu afin de pouvoir accéder à des comptes et des données personnelles. Cela peut être des comptes sur les réseaux sociaux ou des états de financements sur la banque. Le deuxième cas est le plus grave, car les malfaiteurs peuvent même utiliser ces données pour soutirer de l’argent. La vie en société se dégrade actuellement malgré ces situations délicates qui deviennent ingérables sur le fait.

Une plainte déposée pour une infraction pénale

Dès la constatation d’une usurpation d’identité, il existe de multiples options possibles à intenter. Pour ces faits, le premier réflexe à faire est donc le changement de mot de passe. L’important est donc d’assurer une sécurité plus optimale par rapport au compte de la personne. Avant de porter plainte, il est nécessaire de prendre toutes les preuves importantes concernant l’usurpateur. Pour en savoir plus, visitez ce site avocat-omrani.be. Il est possible de fournir toutes les informations concernant l’auteur auprès des fournisseurs d’accès Internet. La plainte pénale peut être déposée après les recueils de toutes ces informations. Il faut veiller à la sécurité de tous les comptes. Il est notable que cette infraction pénale soit punissable à tout moment. Il est surtout passible d’une peine d’emprisonnement de cinq ans et d’une amende de 75 000 euros. Le commissariat le plus prêt se charge de toutes les procédures à ce moment-là.

La saisine du tribunal correctionnel en la possession de l’identité de l’usurpateur

Un usurpateur peut même arriver à détourner les fonds d’une personne dans la banque sans même que le propriétaire s’en rende compte. Il peut bien avoir des impacts colossaux sur le quotidien de l’homme. Il peut également avoir des comptes personnels à une personne afin de vouloir salir sa réputation dans une entreprise par exemple. Grâce aux diverses techniques de pointes utilisées, il peut avoir accès à divers systèmes comme :

  • L’adresse IP
  • Les mots de passe
  • L’avatar
  • Et les logos des cibles

La plupart du temps, il s’applique à deux techniques importantes. La technique du phishing est la plus utilisée dernièrement, mais il existe également les faux piratages pour la création des comptes. Il est bien possible de demander l’ouverture d’une enquête dans ces quelconques situations. En ayant l’identité de l’usurpateur en main, il est possible de saisir discrètement le tribunal correctionnel.

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